Un triporteur se déplace lentement. A son bord, un nid d’oiseau des branches et d’étranges oiseaux.

Deux comédiens- musiciens et danseurs arpentent le bitume pour célébrer la poésie du Printemps. Ce sont de drôles d’oiseaux qui dessinent leur histoire au fil du macadam.

L’arbre suggère un saule pleureur qui donne à lire ses feuilles que l’on peut venir détacher. Tel des haïkus accrochés à ses branches, on peut venir y cueillir des petits poèmes que l’on gardera précieusement comme des Talismans protecteurs durant toute la saison.

Il s’agira pour les acteurs de la compagnie de créer dans l’espace publique une partie de la journée et d’impliquer le tout venant à célébrer le printemps et la poésie dans un second temps.

En effet, Au son de la clarinette, du chant et de la caisse claire les poèmes suspendus pourront être détachés, lus ou gardés en secret par les habitants.

DES HAÎKUS DANS LES BRANCHES